Chandra courait à travers la foret avec agilité et souplesse et à chacun de ses pas, ses muscles saillants se contracté avec force. Se déplaçant à une vitesse tel que le vent avait du mal à la suivre il arrivait né en moins à éviter tout les obstacles de la foret. Nul êtres au alentour, pourtant Chandra ne pouvait se dépêtrer de cette sensation que quelqu’un ou quelque chose l’observait. Pourtant même s’il avait des sens très développés (même pour un Bleiz-garv) il n’arrivait à détecter aucune présence. Rien de concret. Peut être devenait t’il fous ou alors les dieux eux même le regardait en riant de lui ! Sa colère perpétuelle venait de se transformer en une rage sans borne. Comment osait t’on se moquer de lui ainsi ! Des qu’il trouverait le lâche qui se gaussait de lui il le décapiterait d’un coups de dent et se nourrirait de ses entrailles encore fumante ! Son esprit déjà dérangé par la solitude et la haine se dégrader encore plus fasse à cette situation qu’il ne pouvait contrôler.
Soudain la forêt s’arrêta net. Une vaste prairie s’étendait à perte de vue… Chandra n’était jamais allez aussi loin. Il s’avança de quelque pas hors du bois et regarda derrière lui. Aucun bruit ne s’échapper de l’obscurité qu’il venait de quitter. Mais la « présence » était toujours là, il le sentait au plus profonds de son âme. Elle se terrait cacher derrière un quelconque arbre.
Montre toi ! je sais que tu ma suivit jusqu’ici ! « grrrrrr » (grognement sauvage ^^) Tu te croit sans doute malin a te cacher ainsi ? approche qu’on discute… j’en est plus qu’assez de ton petit jeu ! montre toi et se sera a mon tour de jouer dit il dans un murmure.
Soudain une créature sortit des bois. Quelle ne fut pas la surprise de chandra quand il s’aperçut qu’il s’agissait d’un bleiz-garv, bien que celui ci fut bien différent de ce de sa race. La fourrure de l’étranger était d’un noir si profonds que le simple fait de la regarder donner l’impression de sombrer dans les méandres d’une nuit éternel. Son regard insoutenable brillaient d’une étrange lumière. Bien que petit de taille pour un bleiz-garv il émergeait de lui une aura d’une puissance écrasante. Des frissons parcoururent le corps de Chandra et la peur commença petit à petit à remplacer la rage qui était en lui.
Qui est tu ?… que me veux tu ?… REPOND ! Sinon je vais te…
Tu va me faire quoi ? Sa ne te plait pas vraiment de jouer la proie à se que je vois. La voix du Bleiz-garv mystérieux était grave et empreinte d’une sagesse infinis. Il n’avait pas haussé la voix pourtant chandra ne put s’empêcher de reculer encore d’un pas.
Je te connais Chandra Frère du désespoir. Je connais aussi le fil de ton destin…complexe et plein de subtilité. Se qui est étrange pour un êtres aussi malsain et frusque que toi. J’ai bien peur que Tu ne puisse rester dans cette forêt.
Un long silence suivit ces quelque paroles. Que racontes tu ? pourquoi ne pourrai je rester ! et que connais tu de ma vie ! Tu devrai plutôt t’occupé de la tienne ! Malgré la peur qui le taraudait Chandra sauta griffes en avant sur ce loup de mauvaise augure. Le loup à la fourrure de nuit fut prompte a réagire et c’est avec une facilitée déconcertante qu’il envoya voltigé dans les aire Chandra par un simple coup de point au niveau de l’estomac.
Chutant un peu plus loin le frère plier en deux poussa un grognement fasse à la douleur qui se propager en lui.
La grand chandra, terreur de se monde à terre par un simple petit coup de point ! Et bien tu n’est pas en forme mon… ami. Tu devrai prendre des vacances loin de cette foret. Tu ne croit pas?
…pourquoi ?… dit chandra en un soupire.
Il est des choses qui ne s’explique pas. Un long voyage t’attend mais je ne me fait pas de soucis pour toi…tu ne le mérite pas. Le sage le regarda un moment puis poursuivit. Tu es une plaie pour ce monde, un misérable verre qui ronge tout se qui touche. Pourtant les dieux savent pourquoi , tu es destiné à servire un bute essentiel pour le bien de tous. Ironique n’est pas ? Ne cherche pas revenir sur tes pas…ou tu me retrouvera sur ton chemin. Je serai toi je me dirigerai vers les terres lutines non loin d’ici. Cela pourrai êtres un bon début tu ne crois pas ? Bien il est temps de se quitter. Sans dire un mot de plus il disparut dans la forêt sans faire de bruit laissant Chandra seule à l'orée de la forêt.